Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Retraites et création monétaire

25/09/2010 21:47

Retraites et création monétaire


http://blog.nicolasdupontaignan.fr/post/Retraites-et-cr%C3%A9ation-mon%C3%A9taire

 






Spectacle sur Courrières : au rythme des saisons

25/09/2010 10:37

Spectacle sur Courrières : au rythme des saisons


Notre représentant courriérois, et notre délégué de circonscription, se sont rendu au spectacle choral organisé par Mme Kups et son « atelier chorale », celui –ci s’étant déroulé à la salle de l’Harmonie de Courrières. Un agréable moment passé à regarder ce spectacle élaboré par Mme Kups avec l’aide de nombreux amateurs. Un récital avec pour trame l’histoire d’un fils (celui du père noël) à la recherche d’une nouvelle mère noël pour son père. Les chants de la chorale illustreront les pérégrinations de ce fils attentionné qui de noël au printemps tentera tout,  écumant les lieux les plus insolites, pour trouver une âme sœur afin de combler les voeux de son père. Et tout finira bien et en chanson bien sur… Bravo a tous ceux qui auront fait de ce spectacle, une grande réussite. Bravo à cette association héninoise à qui nous souhaitons un bel avenir ! 

Le comité de circonscription 



Commentaire de poil à gratter (26/09/2010 19:41) :

Merci pour le pot de l'amitié et chapeau pour votre organisation aujourd'hui.Je me suis payée le culot de poser deux questions à un membre de l'alliance républicaine sur son stand à savoir comment ont-ils fait pour avoir leur point d'accueil à l'abri sous le cinéma espace lumière pour le marché aux puces et comment se fait-il que les tonnelles du fn ressemblent étrangement à celles de la mairie?.Réponse pour la première:tirage au sort et pour la deuxième je suis toujours en attente .....





DLR fait des émules

25/09/2010 09:52

DLR fait des émules


Le fédéralisme alimente inutilement la méfiance des peuples

Par HUBERT VÉDRINE ancien ministre des Affaires étrangères

Publié dans Libération et sur Libération.fr

Je comprends que certains aient pu voir à un moment historique donné, dans le fédéralisme, un moyen d’extirper le nationalisme en Europe. On sait le rôle du nationalisme dans l’engrenage fatal du premier XXe siècle, de 1914 à 1945. Après la Seconde Guerre mondiale, et ses 40 millions de morts, les inspirateurs de la construction européenne ont donc fait du rejet absolu du nationalisme leur fil conducteur. Ils étaient servis par la division de l’Allemagne qui amenait la République fédérale d’Allemagne (RFA), à une surenchère européiste. Les intérêts nationaux étaient taxés d’« égoïsme ». On rêvait d’« Etats-Unis d’Europe ». Des courants de pensées très différents : gauchistes, ultralibéraux, atlantistes, écologistes, régionalistes allaient se retrouver sur cette ligne, contre l’Etat-nation.
Cette philosophie s’est marginalisée par ses excès. Elle était trop cérébrale. Elle a été prônée par des petits groupes qui n’ont jamais réussi à devenir des avant-gardes : trop excessifs. Niant l’attachement normal de chacun à une patrie. A la recherche d’un être philosophique pur et parfait, ils auraient voulu qu’entre l’individu et l’universel il n’y ait rien, ils s’alarmaient du moindre attachement identitaire. Tous les êtres humains devaient être absolument interchangeables. Les années 30, le nazisme, la guerre, la Shoah étaient invoqués à tout propos et hors du propos. L’exemple des Etats-Unis était invoqué à tort. George Washington n’avait-il pas dit que la force des Américains était d’être tous les mêmes : religion, langues, etc. ? Ce n’était pas le cas des Européens.
On a vu s’affronter à chaque étape de la construction européenne non pas des souverainistes (il n’y en a plus au vrai sens du mot) et des pro-européens (qui ne l’est ?) mais des pro-européens et des européens fédéralistes. Pour les premiers, les nations européennes perdureront mais doivent exercer ensemble leur souveraineté. Pour les autres, elles doivent abandonner leur souveraineté jusqu’à former un jour une seule nation européenne.
Mais des gouvernements ne peuvent pas entrer dans cette vision, les peuples encore moins ! On le voit à chaque référendum. C’est pour cela que les cinq traités négociés en vingt ans (Maastricht, Amsterdam, Nice, traité constitutionnel, Lisbonne) n’ont pas modifié fondamentalement la nature de l’Union européenne. Démocratiquement ils ne le pouvaient pas.
Je pense qu’à vouloir jeter l’enfant avec l’eau du bain (passer du rejet du nationalisme au rejet de la nation), les activistes anti-identitaires et du dépassement des nations se sont enferrés dans une impasse. Je pense comme Jean Daniel, Pierre Nora, Marcel Gauchet, Pierre Manent, Régis Debray et bien d’autres, que l’universel ne peut pas se vivre sur une base abstraite. Il est évident que les nations se réaffirment (pays émergents) ou sont toujours là (Europe). Jacques Delors lui-même parle de fédération d’Etats-nations. Cela n’a rien d’inquiétant en soi. C’est la négation par des élites abstraitement universaliste du caractère normal de ce besoin qui nourrit les extrêmes. L’internationalisme lui-même postule le dialogue entre les nations, pas leur effacement !
Il est peu probable que l’Europe aille institutionnellement au-delà du traité de Lisbonne (sauf un peu, dans la zone euro), quoique veuille le Parlement européen. Sa nature hybride, multinationale et communautaire, est une richesse, pour des coopérations et des politiques communes nouvelles. A condition de se libérer d’une sorte de fédéralisme posthume qui alimente inutilement la méfiance des peuples.

La réprimande de trop

Par Denis Tillinac

Publié dans Valeurs Actuelles et sur Valeursactuelles.com

Les Français n’ont jamais aimé l’Europe, même s’ils en ont bien profité, à l’instar de nos agriculteurs, depuis tantôt un demi-siècle. Ils ne sont jamais loin d’approuver le souverainisme intégral d’un Villiers ou d’un Dupont-Aignan et cette histoire d’expulsion de Roms étrangers et clandestins, que Bruxelles dénonce indûment, va les conforter dans leur allergie.
Elle les réconcilie même provisoirement sur le dos d’une politicienne luxembourgeoise qui s’avise de nous faire la morale, avec menaces judiciaires à la clé. Autant profiter de sa stupide indécence pour affirmer haut et clair qu’un pays est en droit de déterminer sa politique d’immigration. Droit inaliénable, qui ne saurait être encadré que par les lois autochtones. Sinon les nations n’existeront plus et les peuples le paieront cher.
Mais le droit communautaire, me dira-t-on ? Peu de citoyens le connaissent, aucun n’est enclin à s’y soumettre tant sa légitimité prête à controverse. Si vraiment il contredit cette prérogative élémentaire et fondamentale, qu’on le change ! Mais les traités ? Si vraiment ils empêchent nos autorités élues de choisir les émigrés qu’ils souhaitent accueillir, et de refuser les autres, qu’on les dénonce ! Les accords de Schengen nous obligent ? Quittons donc Schengen, cette passoire ébréchée de partout ! Nous ne sommes pas les seuls à redouter l’impact d’une immigration peu ou pas contrôlée ; c’est le souci de tous les peuples de la Vieille Europe, comme disait Rumsfeld, et il avait raison de faire le distinguo, il y a bel et bien un noyau dur forgé par l’Histoire, et la cohorte des adhérents de fraîche date qui empochent les subventions sans accepter les contraintes.L’An gle - terre pour sa part les escamote sans la moindre vergogne et nul ne dénigre son souverainisme impénitent.
Peut-être le moment est-il venu, à la faveur des pulsions antifrançaises de Bruxelles, de repenser l’Europe sur ses bases initiales : les six du traité de Rome, avec l’inévitable “moteur” franco-allemand. En somme, l’Europe de Charlemagne, la seule qui puisse un jour animer une entité politique digne de l’appellation. Avec vingt-sept États nations, et l’épée de Damoclès d’une entrée de la Turquie, elle n’y parviendra jamais. Il y a mille façons d’imaginer des coopérations politiques et économiques, des cercles concentriques qui profileraient des modalités d’alliances plus ou moins serrées. L’uniformité d’un droit communautaire n’aurait de sens qu’avec le préalable d’une harmonisation des lois fiscales et sociales. On en est loin, la Luxembourgeoise qui nous a asséné son couplet soidisant humanitaire en sait quelque chose.
Quoi qu’il en soit, le moment est venu de mettre sans égards les pieds dans ce plat qu’on ose à peine effleurer avec des pincettes : le problème des flux migratoires. Ceux d’aujourd’hui, qui sont déjà préoccupants, et ceux qui se profilent à l’horizon d’une génération. Parce qu’on a peur des banlieues, parce qu’on a peur de Le Pen, parce qu’on a peur de nos ombres, on biaise, on cache des chiffres, on théâtralise quelques expulsions mais on n’ose pas afficher une politique cohérente, et la mettre en application. Quels immigrés ? Venus d’où ? En quelle quantité ? Sous quelles conditions ? Sarkozy donne de la voix mais finit par envoyer des émissaires à Bruxelles pour calmer la vindicte des euro-judiciaro-technos, au lieu de les envoyer paître.
Puisse cette crise l’inciter à bousculer pour de bon les chromos en énonçant sans équivoque, à la face de l’Union européenne, de l’Onu et de toutes les cours de justice imaginables sa volonté de mettre en oeuvre la politique d’immigration de son choix avec l’aval de sa majorité et en conformité avec nos lois. Quitte à s’absenter pour un temps du cirque institutionnel bruxellois. Les précédents ont montré qu’on ne risquerait pas grand-chose, l’Europe sans la France n’étant absolument pas viable.
Du reste, un petit clash bien orchestré ferait plaisir à tels de nos voisins qui en rêvent secrètement. Je ne suis pas un souverainiste de stricte observance. La France a grandement profité du Marché commun et les critères de Maastricht, sans doute techniquement discutables, nous prémunissent tout de même de nos démons. La monnaie commune et la concurrence de nos voisins nous obligent à plus de vertu que nos penchants à l’assistanat ne nous y inciteraient. Sans l’aiguillon de l’Europe, la France s’enliserait vite dans le faux confort d’un étatisme impotent. Mais si cet aiguillon devient un licol, il faudra avoir l’audace de dire non, comme un certain de Gaulle, jadis.






DLR 14ème circonscription présent sur le marché aux puces ce dimanche

25/09/2010 01:32

DLR 14ème circonscription présent sur le marché aux puces ce dimanche


 

 A l'occasion de la Baderie d'Hénin Beaumont, DLR et son comité de circonscription installeront un stand et seront heureux de vous y accueillir. Ce stand se tiendra dans la rue Victor Hugo prés de la gare. De plus, un pot de l'amitié sera partagé à partir de midi avec nos militants, sympathisants et amis. Nous vous y attendons pour y partager nos projets et points de vue sur notre certaine idée de la France. Venez, vous serez accueillis chaleureusement.

Le comité de circonscription

 

 

 






Un monde d’avance mais une stratégie de retard

25/09/2010 01:17

Un monde d’avance mais une stratégie de retard


Hamon et Emmanuelli dans l’impasse
par David Desgouilles
 L’article que consacre ce matin Gérald Andrieu aux journées parlementaires du PS s’avère fort révélateur de l’impasse dans laquelle l’aile gauche incarnée par le courant « Un monde d’avance » est engagée. Ce dernier, dirigé par le jeune Benoît Hamon et l’ancien Henri Emmanuelli, semble plus isolé que jamais aujourd’hui. Sa stratégie, depuis la clôture du congrès de Reims, y a puissamment contribué.
L’erreur de Benoît Hamon, c’est d’avoir d’abord accepté cette alliance avec Martine Aubry et de devenir son porte-parole. Jean-Luc Mélenchon, quant à lui, prenait acte de la défaite de leurs idées face à celles des socio-libéraux Royal, Aubry et Delanoë. Il créait dans la foulée le Parti de Gauche et initiait une alliance avec le PCF. On sait que Hamon fut membre du cabinet de Martine Aubry au ministère du Travail et qu’il a gardé une certaine tendresse pour son ancienne patronne. Mais lorsqu’on se pique d’incarner le retour aux sources du socialisme, on doit gommer tous les aspects humains et faire de la Politique, de la vraie.
A lire les réactions des élus socialistes aux admonestations protectionnistes d’Emmanuel Todd, on ne sait que trop le superbe isolement dans lequel se trouvent Hamon et Emmanuelli sur la question du libre-échange. Le député landais a beau déclarer solennellement à ses camarades que ce thème s’imposera à eux, on sait dans la coulisse qu’une candidature DSK acterait la défaite de leur stratégie. Mais là où ils demeurent aveuglés, c’est lorsqu’ils pensent qu’une candidature Aubry en consacrerait la victoire. Aubry n’est nullement plus favorable au protectionnisme que DSK. Lorsqu’ils se basent sur l’introduction de la notion de « juste échange » dans le programme du PS pour annoncer l’amorce de leur victoire idéologique, ils font preuve d’une naïveté confondante. Pour trois raisons.
La première, c’est que, comme le dit Todd à tous ceux qui n’aiment pas le terme de « protectionnisme » et préfèrent une sémantique « cache-sexe », « avoir peur du mot, c’est avoir peur de la chose ».
La seconde, c’est que l’auteur du programme du PS, et donc l’introducteur du concept de juste-échange, se trouve être Pierre Moscovici, dont la proximité avec Pascal Lamy, directeur de l’organisation mondiale du commerce, est connue de tous, au moins au PS. Lorsqu’on prononce le mot « protectionnisme » devant le député du Doubs, il sort systématiquement son révolver. Dès lors, l’introduction du « juste-échange » ne peut pas s’interpréter autrement  que comme un su-sucre de Martine Aubry à son porte-parole.
La troisième, c’est que le protectionnisme pouvait encore être, en novembre 2008, le sujet n°1 que décrivent Henri Emmanuelli et Emmanuel Todd, dont c’est la marotte. Sauf, qu’il est devancé aujourd’hui par la Monnaie en général et la sortie de la zone euro en particulier. La crise grecque est passée par là. Là encore, Mélenchon bénéficie de davantage de liberté pour aborder le sujet. Au PS de la fille de Jacques Delors, cela tient de la plaisanterie. En fait, la seule capable de briser ce tabou reste Ségolène Royal -c’est d’ailleurs l’ultime solution qui lui reste pour s’imposer- et Mélenchon l’a bien compris en se rendant à sa fête de la Fraternité dimanche.
Contrairement à ce que pensent Hamon et Emmanuelli, la candidature de DSK leur serait beaucoup plus profitable. Elle les forcerait, non à participer à cette pantalonnade de primaires, mais à opter pour une candidature Mélenchon et quitter de facto le Parti Socialiste. Tout cela rendrait davantage service à leurs idées que de devenir les cocus inévitables d’une candidature Aubry et de dragouiller Besancenot notamment dans le but d’affaiblir Mélenchon. Ce dernier demeure bien, en effet, le symbole personnifié de leur faute originelle de novembre 2008. Ils le voient en concurrent alors qu’il reste la seule planche de salut pour faire progresser leurs idées. Le rejoindre maintenant n’est pas seulement une bonne idée, c’est la seule. Et cela pourrait même rendre aussi service à Mélenchon malgré lui puisque ce dernier a vu, depuis deux ans, des écolos-libertaires prendre un poids de plus en plus important dans son parti. Il suffit d’aller se rendre sur son blog pour s’en apercevoir. Les Jacobins, semble t-il, n’y sont plus les bienvenus, ce qui tranche avec les prises de parole efficaces du Chef.
Mieux vaut tard que jamais, finalement. Il ne tient qu’à Hamon et Emmanuelli de ne pas devenir les Mariani-Myard du Parti socialiste. Même si -on l’aura compris- il s’agit de toute évidence du destin qu’ils ont choisi, jetant des pelletées de terre supplémentaires sur leur idéal.





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